Depuis un certain temps, on constate multiplication des ateliers de réparation des motos. Cela peut s'expliquer par deux raisons pincipales. D'abord par ce que le mot chômage rime avec la jeunesse, la plus part de ces mécaniciens sont des jeunes. Poussés par le problème d'emploi, ils se dirigent vers cette profession. Ensuite par ce que " les motos chinoises" moins chères envahissent nos marchés. Ce qui du coup provoque l'agrandissement du parc des engins à deux roues, nécessitant par conséquent un grand nombre de réparateurs pour leur entretien. Pourtant, en remontant de quelques années en arrière, on constatera que ce métier tout comme celui de vulcanisateur étaient laissés aux expatriés, mais aujourd'hui les jeunes nigériens sont les plus nombreux. En prenant conscience qu'il n'y a pas de sous métier, ces jeunes se rendent utile à eux-mêmes et à la société toute entière qui a tant besoin de la jeunesse pour son développement.
Par la Rédaction
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